École

Vous êtes ici : Accueil > École > Portraits

Karolina Rozhnova - Licence en Droit parcours Droit français et Droit anglo-saxon / Diplôme Universitaire ESL 2014/2015

Actuellement en 1ère année de Licence Droit parcours Droit français et Droit anglo-saxon et du Diplôme Universitaire de l'École Européenne de Droit. J’ai décidé de postuler pour la licence bilingue en terminale S.
Photo

Photo

D’esprit plus littéraire/sciences humaines que scientifique depuis toujours, la licence présentait pour moi plusieurs atouts majeurs. Tout d’abord, ayant toujours adoré les langues et particulièrement l’anglais, c’était l’occasion d’allier plaisir et cursus universitaire (plus de maths enfin !). Ensuite, le fait d’étudier non seulement le droit classique français mais aussi un droit étranger m’intéressait afin d’acquérir un point de vue plus haut peut-être, plus critique et plus comparatif au vu de systèmes différents.
En clair, avoir plus de connaissances se faire une meilleure idée ! Enfin, le droit en lui-même m’a poussé vers ce choix de licence, un idéal de justice, le vouloir de faire quelque chose d’utile pour et dans la société.

La première année de la licence bilingue est très enrichissante, les matières sont variées, entre pur droit français et le droit anglo-saxon où l’on découvre le système judiciaire au Royaume-Uni au premier semestre, et celui des Etats-Unis au second semestre par exemple. D’autres matières comme « (International) Criminal Law » peuvent être enseignés par des intervenants extérieurs anglophones, enseignant dans des universités partenaires, qui apportent un réel dynamisme pour la matière concernée.
Le cursus n’est pas de tout repos, il faut vite apprivoiser la Bibliothèque Universitaire, qui est un peu notre deuxième maison pour la recherche en vue des Travaux Dirigés (TD), les exposés ou pour les révisions des partiels ! La charge est clairement plus lourde que dans un cursus de droit classique, avec plus de TD, mais je pense réellement qu’une fois dedans, on prend le rythme globalement bien et avec un travail régulier il n’y a pas de raison de ne pas réussir. L’investissement de son temps vaut le coup. Il faut aussi savoir parfois prendre un peu de distance avec les cours, car étudier c’est très bien (et nécessaire), mais il faut savoir souffler et prendre le temps pour faire autre chose : sortir (notamment avec notre association spécifique : la TESLA, Toulouse European School of Law Association !), pratiquer une activité culturelle/sportive, se ressourcer. Comme l’a dit un jour un de nos professeurs, « Dans la vie, il n’y a pas que les études ! ». Vouloir être bon (le meilleur) pourquoi pas, mais pas par tous les moyens.

Le cursus m’apporte personnellement beaucoup : au fur et à mesure, j’ai vu mon quotidien différemment. L’on peut vraiment se rendre compte que le droit est absolument partout ! C’est assez drôle d’ailleurs.

Concernant le groupe de classe, notre promotion s’entend bien, c’est agréable d’avoir un petit groupe qui se connaît bien avec qui l’on ne se sent pas seul ou isolé. Autre chose très alléchante : la 3ème année se passe à l’étranger dans une université partenaire, ce qui motive grand nombre d’entre eux également !

Le corps enseignant est pour la grande majorité extrêmement compétent : des enseignants à la pointe de leur matière qui la transmettent avec passion.

Mon projet professionnel n’est pour l’instant pas encore clairement défini, mais ce qui m’attire (comme la majorité d’entre nous je suppose) est de travailler à l’international, voire dans des institutions internationales et européennes (ONU, l’Union européenne).

Je fais en parallèle le Diplôme Universitaire de l’Ecole européenne de Droit (engagement sur 5 ans), qui a pour ambition de former des juristes cultivés pouvant travailler sans difficulté dans l’Union européenne. Ce cursus complémentaire (et payant) vient de commencer en 2015, mais il me semble d’ores et déjà que celui-ci va avoir une grande portée dans le futur : tout est fait pour atteindre l’excellence, le choix des professeurs, des matières parfois très techniques et/ou culturelles, le niveau des cours… Certaines matières sont plutôt ardues pour des premières années (droit de l’Union européenne spécifique notamment) mais en même temps intéressantes. Si vous en avez la possibilité et que vous vous sentez capable d’assister à des cours supplémentaires (en fin de journée souvent), que le droit de l’Union européenne et l’Europe vous intéressent, foncez !

Pour finir, je dirais simplement que si vous êtes motivés par cette licence bilingue (et par le Diplôme Universitaire de l’Ecole européenne de Droit), rien ne sera trop dur ou impossible !

« Agissez comme s'il était impossible d'échouer. » - Winston Churchill



En appuyant sur le bouton "j'accepte" vous nous autorisez à déposer des cookies afin de mesurer l'audience de notre site. Ces données sont à notre seul usage et ne sont pas communiquées.
Consultez notre politique relative aux cookies